Amira Elghawaby est une islamiste recrutée pas Justin Trudeau en janvier 2023, causant un embarras même chez les libéraux. Cette fonctionnaire dirige un bureau spécial soi-disant pour contrer l’islamophobie au pays. Elle s’est fait remarquer pour ses propos anti-québécois qualifiant notre peuple de raciste et d’antimusulman, notamment à cause de la loi 21 sur la laïcité. À l’unanimité des élus, l’Assemblée nationale a demandé à Ottawa de mettre fin au mandat de madame Elghawaby. Trudeau a riposté en disant qu’il appuyait Amira Elghawaby à 100%.
Cette fonctionnaire pour le moins spéciale est donc demeurée en poste grâce à son ange gardien Justin sans que jamais ce dernier n’ait pu expliquer pourquoi il avait ouvert un bureau au profit d’une religion en particulier. La protégée musulmane n’a pas tardé à se faire remarquer de nouveau : le 12 septembre dernier, on apprend que madame Elghawaby a écrit directement aux cégeps et aux universités leur demandant d’embaucher un plus grand nombre de professeurs musulmans démontrant ainsi qu’elle n’a aucun respect pour la loi du pays.
Non seulement elle méprise et combat la loi 21 sur la laïcité, une loi votée par l’Assemblée nationale du Québec, mais elle se moque allègrement de la Constitution. Doit-on lui rappeler que l’éducation est un domaine qui relève de la juridiction exclusive du Québec et qu’une fonctionnaire fédérale n’a rien à voir avec les politiques d’embauche des maisons d’enseignement chez nous ?
Par ailleurs, il est grandement temps que madame Elghawaby, qui a vécu toute sa vie au Canada et qui est de formation universitaire, comprenne que le Québec a beaucoup progressé et a cessé depuis des décennies de se plier à toute forme de théocratie pour évoluer définitivement vers la laïcité. Cela signifie que la religion est et doit rester dans le domaine des droits de l’individu. Ici, la liberté de croire ou de ne pas croire est totale. Ici, et très heureusement, aucun critère religieux quelconque ne peut être mis de l’avant dans l’embauche d’une personne.
Enfin, on peut dire que la seule façon de faire entrer la religion dans l’enseignement c’est par la porte de la science. Pour comprendre la réalité sociale et jamais pour servir de courroie de transmission à une croyance quelconque.
